Le choc des mondes
Le choc des mondes, film américain de Rudolph Maté réalisé en 1951.
Titre original : When worlds collide
Durée : 1h23
ScĂ©nario : Sydney Boehm, d’après le roman Le Choc des mondes de Philip Gordon Wylie et Edwin Balmer
Acteurs : Richard Derr, Barbara Rush, John Hoyt
Production : George Pál pour la Paramount Pictures
Musique : Leith Stevens
Photographie : W. Howard Greene et John F. Seitz
Montage : Arthur Schmidt
Direction artistique : Albert Nozaki et Hal Pereira
Costumes : Edith Head
Un remake de Stephen Sommers, produit par Steven Spielberg, est prévu pour 2008.
D’après les calculs du professeur Bronson du Cap, la planète Bellus fonce vers la Terre. AlertĂ© par le savant, le professeur Hendron de l’observatoire de New York confirme ses prĂ©visions : il reste moins de 8 mois avant l’inĂ©vitable collision avec Bellus, 12 fois plus grosse que la Terre, et la fin du monde est proche. Pourtant les Nations Unies, incrĂ©dules, refusent d’engager la moindre action. Grâce aux capitaux du banquier Sydney Stanton, un petit groupe dirigĂ© par Hendron dĂ©cide alors de construire un vaisseau spatial afin de coloniser le satellite de Bellus, Zyra, dont l’atmosphère est similaire Ă celle de la Terre et qui devrait rĂ©chapper du choc entre la Terre et Bellus. Si cette « Arche de NoĂ© » interplanĂ©taire est achevĂ©e Ă temps, 40 hommes et femmes, tirĂ©s au sort parmi des profils sĂ©lectionnĂ©s (ingĂ©nieurs, techniciens, agriculteurs, etc.), pourront Ă©chapper Ă la catastrophe et perpĂ©tuer l’espèce sur Zyra.
La scène, vers la fin (du film et du Monde)
Bellus et Zyra se rapprochent inĂ©luctablement. Les habitants de la Terre ont fui dans les montagnes afin d’Ă©chapper aux gigantesques raz-de-marĂ©e qui s’annoncent. Les grandes mĂ©tropoles sont devenues des villes fantĂ´mes.
Les mots qui sonnent le glas
Le silence, sinistre prédiction de la destruction qui approche.
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