PassĂ© sous silence – Alice Ferney
Acouphène et digestion difficile
La restitution en miroir des voix intĂ©rieures et du cheminement psychologique des deux personnages paraĂ®t ainsi bien empesĂ©e, amidonnĂ©e par un ton de fanfare militaire et lyrique. Assourdie, aplatie, parfois au bord de l’acouphène, la narration bat trop souvent en retraite, laissant le champ libre Ă une accumulation difficile Ă digĂ©rer de considĂ©rations dĂ©finitives.
« PassĂ© sous silence », d’Alice Ferney : une fanfare bien empesĂ©e
Très belle description littĂ©raire de l’acouphène de la part de Nils C. Ahl pour Le Monde.
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