Acouphène presque absent la nuit… Est ce habituel ?

  • Acouphène presque absent la nuit… Est ce habituel ?

    Publié par curly le 1 mars 2018 à 11 h 03 min

    Bonjour,

    Depuis 4 mois j’ai un ac unilatérale relativement faible, et je parcours les forums sans trouver de gens dans mon cas. Le jour, mon ac est bien présent… Je le maintiens à distance avec du Rivotril pendant la journée.

    Je m’endors assez facilement, parfois avec 1 demi-Donormyl, parfois sans rien. Or, comme depuis toujours j’ai de fréquent réveils nocturnes, à la fin de chaque cycle de sommeil.

    Lors de ses réveils, mon acouphène est quasi-imperceptible, voire complétement absent comme cette nuit. Je peut par exemple aller au toilette, boire un coup, me rendormir sans sifflement-bourdonnement. Le matin, il est généralement très très faible, et monte en puissance en quelques dizaine de minutes lorsque je vaque à mes occupations. Ca m’étonne, car la plupart des témoignages que je lis décrivent un cycle inverse, avec des réveils nocturnes et matinaux pénibles côté sifflement. Avez-vous déjà entendu parler de ce genre de symptômes ?

    curly a répondu il y a 6 années 6 Membres · 12 Réponses
  • 12 Réponses
  • tanlayz

    Membre
    1 mars 2018 à 12 h 18 min

    j’ai les mêmes symptômes, très faible au réveil, ils peuvent augmenter au fil de la journée mais c’est pas tout les jours.

    Parfois aussi je me réveil la nuit et ils sont si faible que je dois bouger mon oreille pour les entendre

    je n’ai aucune explication

  • curly

    Membre
    1 mars 2018 à 12 h 33 min

    Intéressant… L’explication la plus simple et probablement la moins pertinente serait que le cerveau étant encore en sommeil, il met quelque temps à reprendre sa mauvaise habitude de créer un son parasite. Ca pourrait aussi être une sorte de syndrome vestibulaire léger et atypique : acouphène concomitant à la position debout et aux stimuli visuels. Une possible et énième piste à explorer…

  • didierherman

    Membre
    1 mars 2018 à 15 h 30 min

    Bonjour
    @tanlayz
    je vous envie . pas de pause pour moi ils sont à bloc jour et nuit .

  • tanlayz

    Membre
    1 mars 2018 à 15 h 34 min

    @didierherman les 3 premiers mois on été un calvaire, puis progressivement ils ont été moins virulent . j’espère que ça ira pour vous . ça fait combien de temps que vous en avez ?

  • didierherman

    Membre
    1 mars 2018 à 17 h 30 min

    pour faire court acouphénique hyperacousique léger depuis un énorme larsen en 2004
    et grosse augmentation en février 2017 ils ont explosé sans choc particulier surement la goutte d’eau . Bref depuis un an un mois c’est l’enfer .

  • tanlayz

    Membre
    1 mars 2018 à 20 h 44 min

    @didierherman ah oui, pas évident . Mais ils sont fluctuant ou pas ?

  • didierherman

    Membre
    2 mars 2018 à 9 h 49 min

    @tanlayz
    constant
    bon courage

  • david

    Membre
    14 mars 2018 à 22 h 08 min

    Moi mes acouphènes sont tellement puissants la nuit que je suis sûr qu’un médecin qui mettrait son stéthoscope sur mon crâne les entendrait et le retirerait vite de ces oreilles de peur de se prendre un trauma lui même !

  • winterhascome

    Membre
    1 avril 2018 à 13 h 43 min

    Salut,

    En ce qui me concerne, acouphènes depuis janvier 2017, hyper depuis février 2017. Origine inconnue.
    Mes acs sont relativement faibles, mais bien suffisants pour me pourrir la vie (sans parler de l’angoisse d’augmentation et des comportements d’évitements qui vont avec. Le tout verrouillé par l’hyper qui “objective” la détestation et la crainte du bruit).
    Le soir, ils sont généralement plus fort que le matin. J’ai un bruit blanc très léger à gauche ainsi qu’un son faible de fréquence moyenne. A droite, un bruit blanc plus fort et une “sifflet” moyen aigu. Le tout peut varier en intensité et en qualité (le bruit blanc devenir un grésillement traversant le crâne d’une oreille à l’autre).
    Mais au coucher, calme, allongé sans oreiller, et mâchoire détendue, en général, cela se transforme. A gauche en un bruit de tuyauterie (un peu moins dérangeant) type eau dans les radiateurs ou VMC. A droite le sifflet s’arrête et ne reste que le bruit blanc. L’intensité globale diminue fortement.
    Au réveil, tant que je me maintiens dans un état de somnolence rien ne bouge. Dès que je m’excite un peu (me réveille, me lève), ça augmente, pour retrouver la configuration du soir.

    A noter que lorsque certains soirs le volume est plus fort, ou que ça ne diminue pas tout seul, je force un peu la dose de Xanax et les acs se calment.

    A noter encore que je dors avec des boules Quiès. Paradoxalement ça augmente la perception des acs, mais également j’ai l’impression que ça les calme, un peu comme s’ils se perdaient dans la confusion.

    Je “prie” tous les jours pour continuer à gérer cette saloperie à peu près.

  • triba

    Membre
    1 avril 2018 à 16 h 48 min

    C’est ça, on prie tous pour gérer au mieux le quotidien.
    La stabilité n’étant pas leur fort, ils ont tendance à souvent varier à la hausse.
    En tout cas, je n’ai encore jamais lu de variation à la baisse.
    J’en ai depuis Septembre. A cette époque-là, le matin au réveil, ils étaient très bas et ils augmentaient au cours de la journée.
    J’ai eu parfois des moments un peu calme, toujours le matin. La nuit si je me réveillais, ils ne baissaient qu’à partir de 4-5 heures du matin.
    Depuis peu, je m’aperçois que la différence entre le matin et le soir s’est amenuisée. Toujours ce sifflement aigue, dans l’oreille d e droite (alors que ma perte d’audition est surtout oreille de G, allez comprendre) puis des fois dans les deux.
    J’ai tout de même l’impression qu’une bonne nuit les influence à la baisse mais je suis dubitatif quant à l’action des médocs/béquille que je prends type leixomil et Atarax. Je prends aussi du Donormyl, autant les 2 premières fois, le lendemain je me réveillais dans un quasi silence mais cela n’aura durée que deux fois.
    Ce sifflement aigue d’env 6800 Hertz est désagréable, il pourrait presque me faire mal aux oreilles. Néanmoins, aujourd’hui ils ne font plus que de me déranger, ils ne m’angoissent plus. Cela doit être le début de l’habituation.

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