Resalut Admin,
Euh… presque partout ^-^”
“Aucune amélioration” “c’est dans le cerveau” “Dès que je stress, ça augmente”
“ils ne prennent pas nos cas au sérieux” “Quand ils prendront nos cas au sérieux, de véritables recherches pourront enfin êtres faites” “Qui a essayé ceci ou cela, pour nous dire si ça donne enfin de vrais résultats ?” “il faudrait que l’on fasse une manifestation pour être enfin entendu !” etc etc
Pour ma part, je ne trouve pas ces réalités bien positives. Et puis c’est normal. Les acouphènes entachent facilement notre positivité. Il est donc primordial, de temps à autre, de faire des piqûres de rappel, sur ce positivisme réaliste, dont nous avons grandement besoin. A chaque fois que je lis un témoignage positif, ça me donne du courage de chercher encore… d’éventuelles solutions. Plus le temps passe, et moins je pense aux solutions du 100% de réussite. Mais même si je n’obtiens au finale que des améliorations, cela me conviendra aussi. Parce que je sais que le but des acouphènes vasculaires n’est pas d’en rester là, mais de s’aggraver avec le temps… Donc je cherche les moyens naturels pour m’éviter ce genre d’horreur. Et puisque la chimie est très souvent ototoxique, j’opte sans hésitation pour le naturel. En ce qui concerne l’exagération humaine… cette classique maladie nerveuse de tout amplifier, soit en bien soit en mal, comme l’amplification des chiffres sur l’Acoumen par Alternative Santé, c’est aussi à nous lecteurs, de savoir que la vie humaine est ainsi faite, d’exagérations. Et donc ne pas croire dans l’absolue les chiffres officiels, quel qu’ils soient. On apprends ça en statistiques. L’esprit critique est toujours bien venu…
Même moi, ce chiffre… je n’y crois pas. Mais je ne peux pas faire menteurs d’offices, ceux qui disent que pour eux, quelque chose semble avoir réellement fonctionnée… Sachant que nos organismes ne sont pas tous égaux, en tous les points, rien n’est impossible. Ce qui fonctionne pour l’un, peut ne pas du tout fonctionner pour l’autre… malheureusement…
A nous de trouver notre place. Et j’avoue que pour ma part, au sujet des soins à apporter à mes acouphènes, je ne sais pas encore, où est ma place… et quand j’aurais enfin trouvé… enfin… je pourrais me poser. Mais en attendant, je cherche avec ténacité.