Mes oreilles mes conneries mon insconscience

  • Mes oreilles mes conneries mon insconscience

    Publié par markolantern le 10 janvier 2014 à 2 h 06 min

    Bonjour à toutes et à tous.

    Cela fait plusieurs fois que je me rends sur ce blog à la recherche, non pas de solutions miracles (rien qu’une seule ce serait top), mais de réconfort.

    Je vais tenter d’expliquer brièvement mon cas…

    J’ai bientôt 25 et depuis l’enfance, j’ai toujours eu une très bonne audition. J’entendais davantage que la normale, notamment sur les fréquences aigues.

    Suite à un éternuement, j’avais alors 15 ans, je ressenti une douleur à l’oreille droite. Tout l’air (mouchoir sur le nez et bouche fermé), est ressorti par l’oreille. Douleur dans la journée mais rien de grave. J’ai remarqué par la suite que je ne pouvais plus plonger à une certaine profondeur (quelques mètres), sinon une douleur apparaissait à cette oreille. Rien de grave, j’aime pas la natation ;).

    Grand amateur de musique et notamment de métal, j’ai toujours écouté de la musique forte, très rarement avec oreillettes.

    Première véritable douleur, mais pas vraiment à l’oreille, à mes 16 ans. Concert de Daft Punk aux Eurockéennes et un son m’a traversé l’oreille jusqu’à “taper” dans le nez. Je me suis dit je m’en vais et aucune séquelle.

    Premier véritable traumo sonore 5 ans après. Bourré, je me suis tout devant un concert de métal, dans un petit bar. Lendemain = acouphène à l’oreille droite + oreille bouchée pendant une semaine. L’acouphène est resté mais ça ne m’a pas perturbé. Il me “berçait” même.

    Mais aujourd’hui je me rends compte qu’à partir de ce moment là, ma tolérance aux sons s’était abaissée.

    Plus de difficultés à écouter de la musique forte dans ma voiture, j’ai commencé à mettre des bouchons en concerts, notamment en festival etc. Mais je n’en faisais pas tant que ça. Quelques soirées dans les bars de nuit sans protection, car pour moi c’est bête mais les bouchons c’était que pour les concerts (si j’avais su).

    J’avais des moments où je pouvais écouter de la musique sans problème, dans ma voiture souvent (avec sono pourrie et pot d’échappement troué). J’ai eu quelques acouphènes passagers mais encore une fois ça ne me perturbait pas. D’ailleurs mon acouphène (le premier, celui qui est resté, baissait d’intensité les jours suivants mes sorties mais je mettais ça sur le compte de l’anxiété “post cuite”). Ouais j’ai une tendance un peu alcoolo (là j’ai arrêté).

    Dans cette période, je sentais une fragilité aux sons musicaux crades mais pas toujours (surtout dans la voiture) et je me disais à chaque fois, tu peux écouter de la musique mais demain tu arrêtes, tu vas finir par te broyer les oreilles. Pourtant je continué.

    Jusqu’à cette année où j’ai enchainé, suite à une rupture, dépression, et multiples sorties dans les bars de nuit + beuveries/défonces. Et il y a 3 mois, nouvelles sortie dans un bar de nuit. Le lendemain tout va bien (ça ne me venant même pas à l’idée les histoires de sons forts and co) mais je reprends la voiture et met de la musique tout le trajet du retour (100 km) avec musique à niveau moyennement élevée. Toujours rien. Je sentais mes oreilles fatiguées mais jme dis c’est rien de ça, faut que je fasse gaffe mais voilà. Et là j’ai voulu me mettre à la MAO (le surlendemain donc), j’ai enchainé 2x3h sur 2 jours et là le lendemain deux nouveaux acouphènes à l’oreille droite (très faible) et un nouveau à l’oreille gauche.

    Mais à ce moment (encore en ce moment) , j’étais très fragile moralement, donc j’étais dans le déni. Impossible d’écouter de la musique dans la voiture mais j’ai quand même fait un concert le week end qui a suivi, protégé cette fois-ci, mais à danser sur scène (bourré toujours), à me mettre près des musiciens, etc. En fait je voulais pas admettre que j’avais de nouveau des acouphènes, parce que je savais que c’était entièrement de ma faute. J’ai donc préféré boire lors de cette soirée pour oublier et “m’amuser”. Je reviens de cette soirée (en voiture, je sais c’est du n’importe) et m’arrête chez ma cousine qui faisait une soirée. Re musique forte, alcool, etc.

    Le lendemain ça a l’air d’aller mais l’effet de l’alcool s’estompe, l’intolérance aux sons revient, les douleurs eux oreilles, donc là je culpabilise à mort. Tu le savais mais tu as encore fuis, etc. Pris de paniqu, je prend rdv chez mon généraliste (qui s’y connait pas mal en acouphènes car a bossé dans l’armée) qui me dit du repos, et protégez-vous qaund le son est trop fort. Je me suis dit maintenant fini ces conneries, j’arrête de boire et je fais gaffe. S’écoulent 3 semaines, je reprends un verre avec un pote et s’en suit une petite soirée concert dans un ptit bar. J’avais mal mais j’ai bu pour passer la douleur et ait fait le concert (pas très long). En fait pendant un mois j’ai refait le con, vraiment le con, et c’est là que je m’en veux au point de vouloir me suicider.

    De nouveau arrêter de boire (l’éternel demain j’arrête. Je commençais à reprendre du poil de la bête, plus de culpabilité, et là une copine pas bien du tout m’appelle. Le lendemain je vais la voir et on s’était dit soirée sans alcool, tranquille (mes oreilles étaient hyper sensibbles). Au bout d’une heure, on se boit une bière dans un endroit calme, une deuxième et puis on sdit “allez on sort comme à l’ancienne. Nous allons dans un bar que j’aimais beaucoup et là : la musique me tape dans les tympans comme jamais ça m’était arrivé. Je sais pas pourquoi, au lieu de fuir, je suis resté et oujours sans protection (j’aurais pu boire ma bière dehors ou partir) comme pour affronter le mal par le mal, comme si je ne voulais pas accepter le mal qui m’accablait, la “maladie” du son que j’avais. On est resté 20 min. Je lui dis on va trouver un bar calme (quelques moments de conscience quand même). Bar fermé. Une autre copine m’appelle et nous dit on se rejoint dans un bar. Je rentre et là une douleur encore pire que celle d’avant. J’essaie de lutter; de m’assoir, mais impossible, je reste dehors. Le bar ferme et on décide de se finir dans un autre bar de nuit. Je rentre, encore une douleur mais encore une fois je reste en me disant, avec l’alcool ça va passer… C’est passé et le lendemain je repars.

    Le surlendemain de cette soirée, anniversaire de ma mère. Même douleur mais je bois encore une fois en me disant que ça passera (un suicidaire, ça me donne envie de pleurer). Entre ces soirées, je ne supportais pas le son de la télé, la radio, je me disais qu’il fallait que je fasse gaffe, etc….

    Nouvelle “ptite” dépression parce que je me dis “je suis vraiment qu’une merde, pourquoi je fais ça,etc..). Je retourne chez le médecin généraliste qui m’engueule (normal) qui me redit les mêmes choses pour me soigner…

    Là j’ai compris.

    Pourtant, j’ai refais deux soirées chez mon oncle avec une fois et une autre fois des pianissimo -25db. Mais même c’était je pense trop fort, surtout vu l’état de mes oreilles. A chaque fois alcoolisé, pour changer. Les deux semaines qui ont suivies plutôt calme mais grosse dépression de repenser à mes actes, etc…

    La dernière grosse soirée, nouvel an où j’ai failli partir, essayé de baisser le son, jusqu’au petit matin. Encore alcoolisé en me disant de toute façon plus rien à perdre.

    Tout ça pour dire que j’ai fait tout l’inverse de ce que j’aurai dû faire et je m’en veux à me tirer une balle. Surtout que plusieurs fois, mes oreilles commençaient à récupérer (hyperacousie).

    A chaque fois je me disais, maintenant c’est fini t’arrête de faire le con mais pourtant à chaque fois je refaisais les mêmes conneries (à chaque fois alcoolisé). Je m’en veux car après tous ces excès, j’ai le sentiment que mes acs ont augmentés et que mon hyper va avoir du mal à s’améliorer même si ça va un peu mieux.

    Et pis des ptites choses entre tout ça, comme dans une voiture d’une copine où je n’es pas osé lui dire de baisser le son. Pourquoi ?

    Dès que j’entends mes acs, je me rappellent de tous ces moments où je n’ai pas eu la force de m’affirmer, de dire de couper la musique, ces moments où je me suis éclaté la tête aux sons, comme pour fuir une réalité, qui aurait pu s’estomper si tout avait été fait normalement, dès le début.

    Je suis totalement dépressif, je n’ai plus goût à rien, m’en veux terriblement. Des fois je me dis que je suis vraiment qu’une merde à pas avoir ne serait-ce penser à me protéger à chaque fois (pis des fois j’ai l’impression que je ne l’ai pas fait par peur du ridicule, que c’est idiot, que j’ai envie de me gerber)… Pis à chaque fois, c’est comme si je comprenais l’ampleur du problème mais c’était en fond (pendant les périodes où je buvais), et une fois que le sevrage physiologique vient à sa fin, je réalise ma connerie et j’ai encore plus envie de me faire du mal.

    A chqaue fois je me disais c’est trop tard, tu as été trop loin, donc je me refaisais encore plus de mal, jusqu”à aujourd’hui où j’en peux plus, où je suis carrément devenu phobique du son, de peu de me faire du mal…….. Je ne suis qu’une merde qui ne s’assume pas, qui avait peur de mettre des bouchons par peur du ridicule. Dès que j’entends mes acouphènes, je pense à ça……..

    Je sais pas quoi me dire. Je fus totalement con je sais…

    Et désolé pour la syntaxe, ou les fautes d’ortho.. Mais là c’est le coeur qui parle, j’ai pas envie de me relire.

    Merci de m’avoir lu.

    markolantern a répondu il y a 10 années, 9 mois 3 Membres · 10 Réponses
  • 10 Réponses
  • markolantern

    Membre
    10 janvier 2014 à 2 h 13 min

    En gros pendant toute cette période, je souffrais d’hyperacousie assez sévère. C’est comme si pendant mes phases alcooliques (même si pas tous les jours), je me disais “au point où j’en suis”. Quel con mais quel con. Je n’ai aucune excuse…….. Et j’ai mal à ma tête de ressasser ,de ruminer, d’avoir cette haine envers moi. C’est limite du masochisme ce que j’ai fait, de l’autodestruction. J’ai toujours été un peu comme ça mais là c’est grave, vraiment grave…

  • markolantern

    Membre
    10 janvier 2014 à 2 h 16 min

    En gros pendant toute cette période, je souffrais d’hyperacousie assez sévère. C’est comme si pendant mes phases alcooliques (même si pas tous les jours), je me disais “au point où j’en suis”. Quel con mais quel con. Je n’ai aucune excuse…….. Et quand le manque alcool disparaissait, que je reprenais mes esprits, la vérité me bouffait et me bouffe la tête. Et j’ai mal à ma tête de ressasser ,de ruminer, d’avoir cette haine envers moi. C’est limite du masochisme ce que j’ai fait, de l’autodestruction. J’ai toujours été un peu comme ça mais là c’est grave, vraiment grave…

  • markolantern

    Membre
    11 janvier 2014 à 16 h 19 min

    Besoin de soutien ! Up !

  • dj

    Membre
    11 janvier 2014 à 17 h 29 min

    oui,tu as agi comme 1 con!!!comme moi ,lorsque je reste des heures devant 1 ordinateur bruyant!donc,message d’alerte à ts les hyperacousiques!!!!:vs avez mal?pourtant ,le son ,le bruit de l’endroit ou vs etes ,n’est pas fort?pr unE rs obscure ,vs avez mal aux oreilles?une seule solution :chercher la cause, vs pourrez ensuite l’éviter ou trouver 1 solution!solution n2:ecoutez votre douleur:aujour’hui ,l’ordi pr moi,ca va!!mais le we dernier,non!alors ,jai arrété,et reposé l’oreille!moi ,je suis hyperac’depuis mes 13 ans(hyperac’linéaire ss trou sonore,hypersensibilité auditive de naissance mais révéleé à la puberté,j’entends à -40 db au dessous du seuil d’audibilité:1 bruit à 10 km de là ,je l’entends!!!bref…),j’ai appris à vivre, à m’organiser,je sais qd ,pourquoi j’ai mal:l’expérience,à force, mes recherches sur le son ,l’hyperac’;et j’ai 1 vie adaptée à l’hyperac’ depuis 2001;j’ai aussi appris à vivre en fonctions des facteurs génants(mon hyperac’est majorée par tps humide)1 son meme bas peut te faire mal,et à contrario, un son fort ne te feras rien ,c’est 1 q de sensibilité perso,tt en sachant que le jr d’aprés,tu peux tres bien avoir 1 sensibilité différente…APPRENDS A CONNAITRE TON HYPERAC,APPRIVOISE LA,modere certaines choses qui te font mal ou fais les d’une autre facon,adopte des compromis!oui on peut vivre malgré des oreilles sensibles!!!mais il faut du courage et c’est 1 job à part entiere!oui, t’as agis comme 1 con ,c’est vrai ,mais tu avais aussi pardessus ttenvie de vivre…c’est humain ,alors oublie la culpabilité qui ne t’avancera à rien!!mon hyperac’ s’est aggravée depuis dec:je passe trop de tps sur cet ordi,et résultat:mon or est encore plus sensible et je peux encore -vivre,faire encore moins de choses …MAIS j’ai la chance d’avoir une bonne équipe soignante qui me rassure et réponds à mes questions:vu le médecin ,j’ai 1 nl traitement!je lai commencé,c’est 1 traitement homéo qui me soigne d’Apres mon terrain..tiens le coup ,je suis là meme si je ne suis pr l’instt pas tres active!(cf:j’ai crée ma page facebook ,pr expliquer mes trucs du quotidiens pr vivre malgré l’hyperac’)!je précise que ds mon cas ,1 vie pro est impossible ,pas d’amis ,vie sociale ,loisirs..inéxistante!!

  • markolantern

    Membre
    11 janvier 2014 à 19 h 09 min

    Merci pour ta réponse. Moi aussi, j’ai toujours été sensible au fond, certainement pas comme toi, mais je l’ai été. Mais bon je suis bien paumé en ce moment ?

    Quelle est ta page fb ?

  • dj

    Membre
    11 janvier 2014 à 20 h 01 min

    va voir sur la page facebook oreille malade et clique sur “cecile mounier”:j’ai écrit 1 msg d’alerte :msg aux hyperacousique….”cet apres midi

  • ensarta

    Membre
    12 janvier 2014 à 0 h 17 min

    Bonsoir Rotule … Tu as fais des bêtises , mais je te trouve très lucide et courageux de parler ainsi , à cœur ouvert … Je pense que tu “tiens le bon bout” pour avancer … Si tu te rends comptes que tu bois trop , trop souvent et tu le dis ; c’est que tu en as pris conscience et que tu peux en parler … c’est dur de se raisonner tout seul , il y a toujours une bonne occasion ; et c’est vrai , sur le moment , ça fait du bien … j’ai eu des périodes comme ça ; je comprends … Tu es jeune , essaye de prendre soin de toi , fais toi aider … As tu un boulot , une passion qui te motive ? …
    Perso j’ai des acouphènes à longueur de journée (et de nuit) depuis 6 ans . je pense qu’on a pas trouvé de remède efficace … je les supporte davantage , au fil du temps …J’ai remarqué que l’intensité n’est pas toujours égale …Parfois c’est presque insupportable et d’autres fois c’est atténué.
    je te souhaite bon courage , même si cela parait futile ou un peu idiot … j’espère que tu auras de belles choses dans ta vie qui te motiveront et t’aiderons pour la conso d’alcool . il y a des chances pour que tes acouphènes diminuent d’intensité également.
    Cordialement
    Ensarta

  • markolantern

    Membre
    12 janvier 2014 à 0 h 46 min

    Merci Ensarta pour ton message qui fait chaud au coeur 🙂

    ça va un peu mieux aujourd’hui même si j’ai des moments de faiblesse et de flashback sur mes expositions au son (de ne pas avoir demandé de baisser alors que j’avais mal, etc). Mais je crois que je m’en voudrais encore un bon bout de temps. Y’a 2 mois, j’avais les cartes en mains. Mais je devais être au fond encore trop fragile. Enfin, je le suis encore. Un problème de confiance qui date, et mes problèmes auditifs sont une suite logique à ma léthargie spirituelle…

    Mon hyperacousie fluctue. Heureusement, tous les sons de la vie courante, je les supporte encore (circulation, discussion, etc). Par contre je ne supporte plus du tout les fréquences que j’appelle HIFI (télé, radio, téléphone, ordinateur, chaîne hifi). Je continue de cloper (un peu de trop) mais pas facile. Je suis actuellement en recherche d’emploi et n’ai pas goût à grand chose. Mais ça va venir. Pour ce qui est du taf, ça me fait un peu peur de devoir affronter le tél, etc. Mais bon on verra.

    L’alcool j’ai décidé de nouveau arrêté. Mon humeur est beaucoup trop changeante et ça me rend totalement dépressif. Qui plus es me rend beaucoup moins conscient de mon état auditif. Ou plutôt, j’en suis conscient mais je laisse passer en me disant “on verra demain”.

    Mais c’est vrai que ça fout la trouille de revoir toute sa vie dans les moindres détails (comme l’alcool). ça fait beaucoup… Plus de télé, plus de musique, putain c’est dur. Je m’étais lancé dans un webzine musical comme chroniqueur. Je fais toujours parti de l’équipe mais bon je peux plus faire grand chose. Ahah…

    ça vous est arrivé vous ? Cette dépression post trauma sonore, et ces flashbacks de toutes les fois où vous vous voyez forcer sur le son, ces regrets, cette difficulté à accepter votre “nouvel état” (qui partira je l’espère), la peur du ridicule avec les bouchons dans des endroits où nous n’en mettons pas habituellement (surtout au début de la crise), cette fuite des symptômes, etc…

    Moi ça me fait mal.. C’est comme si j’avais toujours été conscient du risque (même pour d’autres choses), et je mettais déjà renseigné sur les acouphènes, mais j’ai quand même été jusqu’au bout de ma connerie. Il suffisait juste que je repose mes oreilles après la soirée et hop. Non j’ai enchainé avec de la musique, et de la compo électro (je n’en avais jamais fait avant) alors que je sentais mes oreilles fatiguées… Mais j’ai forcé ! Faut dire que j’étais (et je suis) en pleine dépression, et fuite d’autre chose. La fuite toujours… Et maintenant ?

  • dj

    Membre
    13 janvier 2014 à 13 h 58 min

    n’ai pas peur du ridicule ,avec tes bouchons d’oreille!moi,c’est mon casque anti bruit et mes “épaisseurs “autour du visage(vibrations sonores amorties):capuche,echarpe,hiver comme eté,qui me vaut moqueries et,balivernes!essaie de rester en contact avec la musique,leS der titres sortis,continue à etr ds ce milieu ,si tu le peux:pt etr px tu adapter ton activité,,réfléchis bien!des solutions existent ss doute ,que tu pourrAIS adapter à ton cas.

  • markolantern

    Membre
    15 janvier 2014 à 1 h 37 min

    Merci beaucoup mais sincèrement, j’ai encore du mal à digérer mon attitude là. Dès que j’entends mes oreilles siffler, ça me rappelle tout….

    Je sais pas vraiment quoi faire, à part bien entendu faire hyper attention. Ma vie ne ressemble plus à grand chose…

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