Acamprosate (Campral/aotal)

  • lulu68

    Membre
    29 septembre 2018 à 18 h 34 min

    Rien à voir mais connaissez vous des gens qui ont vu leurs acs partir du jour au lendemain alors que les acs étaient chroniques (au-delà de 6 mois)?

  • orion

    Membre
    29 septembre 2018 à 18 h 40 min

    La première fois que j’ai eu des acs et de l’hyper chroniques en 2012, c’est parti en sept mois.
    Mais ils étaient peu invalidants.

  • lulu68

    Membre
    29 septembre 2018 à 18 h 42 min

    Et c’est revenu combien de temps après?

  • orion

    Membre
    29 septembre 2018 à 18 h 45 min

    Trois ans après. En 2016.

  • lulu68

    Membre
    29 septembre 2018 à 18 h 48 min

    C’est dingue quand même. Ca reste un mystère. Mais pourquoi ce cerveau ne les oublie pas pour de bon?

  • triba

    Membre
    29 septembre 2018 à 23 h 24 min

    @lulu
    De ce que j’ai lu, les acs touchent l’émotionnel au travers du système limbique et la mémoire.
    Même guéris des acs, notre cerveau pourrait nous rebalancer le souvenir de ce joli son.
    Bah oui, tant qu’a faire, si on avait la nostalgie de cette époque heureuse !

  • triba

    Membre
    29 septembre 2018 à 23 h 29 min

    orion,
    A quoi étaient dus tes acs en 2012 ? Lorsqu’ils sont revenus en 2016 était ce suite à un évènement particulier ?
    Dur tout de même, 7 mois à subir, ils partent et reviennent…

  • orion

    Membre
    30 septembre 2018 à 15 h 43 min

    Pour les acs de 2012, l’ORL AFREPA a dit que ça pouvait être du aux anémies à répétition, et ensuite, quand je lui ai dit que j’ai perdu ma mère en 2012, elle a dit :
    «Ah ! c’est ça !». Un autre ORL m’avait dit «deuil non résolu» (apparemment, en dehors d’ORL, il avait son diplôme de psy…).

    Ils sont balèzes les médecins ! Mais j’aimerais bien qu’on m’explique comment un deuil fait des acouphènes. Concrètement.

    En 2016, c’est con, je n’étais pas en deuil. Mais il y avait des anémies à répétition aussi.
    J’ai donné un indice tout de suite, mais jamais aucun médecin n’en a tenu compte. Les acouphènes sont arrivés (et là on revient au fil ! Tatatiiin ! :)) cinq jours après mon régime (baisse massive de la consommation d’alcool). Un syndrome de sevrage à l’alcool arrive dans les… 5 jours. Tiens, comme par hasard…

    Voilà, obligée de faire des diagnostics seule, je pense que le sevrage partiel à l’alcool a été mal fait.

    15 jours plus tard, des Alfajet me passent au dessus (près) sans que je les vois venir.
    Badaboum ! Hyperacousie douloureuse forte.
    L’ORL constate une surdité totale sur certaines fréquences à droite et un bouchon de cérumen (droite aussi).
    Il me dit que je n’ai pas d’acouphènes. L’hyperacousie, il s’en fout.

    Deux mois et demi de torture après, j’ai enfin vu ma médecin généraliste qui a pris les choses au sérieux.

    (J’aurai du faire un témoignage, à l’origine, mais en fait, c’est plutôt classique).

    Les 3 ans sans acouphènes entre 2013 et 2016, je les considère plutôt comme un sursis. 🙂

    L’ORL m’a dit que j’ai des acouphènes et de l’hyper depuis 2012, mais que c’est passé en arrière-plan pendant trois ans.

  • triba

    Membre
    21 novembre 2019 à 0 h 35 min

    @ orion,

    Tu l’as certainement déjà écrit mais tes acs sont de quel niveau ? En ce qui concerne ton hyper, tant mieux, c’est une sacré bonne nouvelle et prometteur pour maxnono, même si deux ans c’est long.
    @ curly,
    Comme quoi, la médecine n’est pas encore une science exacte. Me concernant, l’Aotal ne me procure aucune gêne. C’est déjà cela.

  • triba

    Membre
    21 novembre 2019 à 0 h 35 min

    @ orion,
    Tu l’as certainement déjà écrit mais tes acs en sont à quel point ?
    En tout cas bonne nouvelle pour ton hyperacousie, c’est réconfortant et rassurant notamment pour maxnono.

    @ curly,
    Comme quoi la médecine n’est pas encore une science exacte.

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