Urgent essai clinique. thérapie susan shore

  • Membre Inconnu

    Membre
    24 novembre 2017 à 22 h 33 min

    moi pour mon acouphène on a sectionné (je ne sais pas si j’utilise le bon terme) le muscle tenseur du tympan, j’avais des acouphènes post op, qui étaient normaux selon l’orl et qui ont finis par fortement s’atténuer (je n’avais plus que des acouphènes passagers) et suite à mon “trauma sonore”, les acouphènes sont devenus permanents sur l’oreille opérée, tandis que je n’ai rien sur l’autre oreille

  • ivich

    Membre
    25 novembre 2017 à 16 h 20 min

    Intéressant cet article, cela expliquerait bien des choses et notamment pourquoi on peut avoir des acouphènes et de l’hyperacousie malgré un audiogramme parfait. Par contre, comment expliquer alors le fait que lorsque le nerf auditif est sectionné, et donc que la relation oreille moyenne-cerveau est rompue, l’acouphène continue de se faire entendre… Il y’a quand même bien un problème de centralisation dans le cortex…

  • micmic

    Membre
    28 novembre 2017 à 17 h 49 min

    cet article ne fait pas de référence au cellules cillées , après des trauma auditif qu’il soient brutaux ou d’exposition prolongée sur plusieurs années ,par exposition à des intensité élevées ,il à toujours été dit est prouvé par imagerie que ces cellules étaient couchées ,lésées et enverraient au cerveau des messages électriques erronés et parasites d’ou perception d’acouphènes
    pour ce qui est du nerf auditif j’ avais demandé à des ORL de me sectionner ces derniers préférant être sourd que de supporter des acs hyper invalidant ,tous m’ont fait la même réponse ,dans ce type d’opération qu’ils avaient pratiqués pour des problèmes de neurinome envahissant
    pratiquement tous les patients conservaient leur acs

    mis à part ça ,il serait temps au 21eme siecle d’essayer aussi de comprendre pourquoi certain individus soumis à des stress et des trauma auditif brutaux ou sur de longues périodes développent un beau jours des acs et de l’hyper et une surdité plus ou moins forte et d’autres dans les mêmes circonstances en reste seulement à une surdité , sans le reste encore plus invalidant
    exemple : mon père , mon frère et moi même avons tous vécus dans des environnements sonores bruyants , sur les 3 ont à tous eu une perte d’audition forte vers la quarantaine et moi seul est développé des acs et de l’hyper aujourd’hui invalidant ?

    Quoi qu’il en soit le problème reste ardu ,ce que confirme ces deux chercheuses et de plus (les acs sont aussi différents qu’il y a de personne atteintes:
    dans leur intensité , leur fréquences en hertz , nature des sons , les variation en journée ou sur plus de temps ,des baisses ou des hausses incompréhensibles ,après un réveil , après la digestion ,après un effort ect… )

    allez ! en tout cas ont pourra en profiter pendant encore pas mal de temps ,peut être même que l’on va faire des cercueils connectés pour rester informés sur les futurs recherches qui aboutiront peut être un jour , qui sait ?

  • Membre Inconnu

    Membre
    28 novembre 2017 à 19 h 30 min

    France acouphène ne fait que prendre des publications et en faire un résumé sur un point donné, ces 2 chercheuses n’ont pas fait de recherches elle-même.

    Moi j’avais lu, que c’était le cerveau ne recevant plus le bon signal, qui créait l’acouphène, donc cela peut ne pas concerner que la cochlée.

  • piccolo-san

    Membre
    28 novembre 2017 à 19 h 44 min

    On ne guérira probablement jamais complètement. Mais déjà si on peut remettre en ordre l’oreille moyenne, ce qui est abordable comparé à la cochlée, bah ce sera déjà un pas de géant. Pour évaluer chaque individu, il faudrait faire des mois de TCC, et avoir les outils nécessaires pour aller mieux. Or on n’a pas ça. Les cellules cilées ne font pas tout, comme le cerveau. Je rajouterais que n’importe qui a des acouphènes, mais la on parle du quasi inaudible pour la majorité. Le terme 0 acouphènes n’existe pas. Enfin, c’est pas seulement un médoc, ou des manipulations qui vont nous guérir, il faut tout ça à la fois pour rétablir notre équilibre d’antan.

  • radi

    Membre
    30 novembre 2017 à 0 h 15 min

    @ivich
    si le message “acouphène” est vehiculé par le trijumeau, ce n’est pas un signale sonore, mais que le cerveau pour je en sais quelle raison l’interpréte comme tel, ca peut expliquer qu’en sectionnant le nerf auditif, on entende rien, mais que l’acouphène persiste.

  • radi

    Membre
    30 novembre 2017 à 0 h 27 min

    soyons simple, après un TS ou lors d’exposition en cas d’hyperacousie on entend le son trop fort mais surtout le son “fait mal” du moins dérange fortement, on a des sensations d ‘oreille qui “tire” ou d’oreille “bouchée”.

    bcp d’entre nous ont des acouphènes qui varient selon les jours et selon des conditions extérieures notamment mouvement de la mâchoire

    Je ne vois aps comment les cellules ciliées seraient responsables de tous ces symptômes

    sans parler des tous les hypoaccousiques qui n’ont pas d’acouphènes.

    Il n’est pas idiot de penser que l’acouphène est un son fantôme, mais la persistance a la section du nerf auditif sous prétexte de “centralisation” n’est pas plus solide que l’hypthèse d’une conduction par d’autre voie d’une sensation de l’oreille moyenne lésée
    ca expliquerait aussi les acouphène liés aux otites etc … qui ne concernent en rien l’oreille interne.

    Ce modèle semble pertinent pour les acouphène sans perte auditive et en outre n’est pas incompatible avec une majoration des acouphene lorsqu’il y a perte auditive du fait de al disparition du fond sonore

  • micmic

    Membre
    30 novembre 2017 à 11 h 25 min

    j’ai pas fait d’étude de médecine et encore moins en ORL
    en revanche un son est une onde qui se déplace dans l’air et qui comme les vagues sur l’océan en cas de tempête viennent frapper avec violence le rivage
    donc plus l’intensité sonore de cette onde en dba est puissante ,plus le tympan secoue les osselets qui transmette se surcroît d’énergie à l’oreille interne (cochlée et cellules de cette dernière) de là, comme un peupliers sous le vent les cellules vibrent et transmettent des signaux au cortex via le nerf
    et si le son est trop violent ou trop fréquent ces cellules sont soumises à rude épreuve ,jusqu’au moment ou elles se couchent pour ne plus se relever et transmettent des signaux erronés , c’est le traumatisme auditif et les éléments qui vont avec , surdité légère ou forte ou pas , acs , hyperacousie
    donc il n’est plus question de mâchoire , de dent , de muscle ,puisque pour ceux qui ont subit un trauma violent , les troubles apparaissent très rapidement
    de plus les cellules reçoivent par la même occasion une surcharge de glutamate qui en plus est un poison pour ces dernières
    plus tard quand les troubles deviennent chroniques peut être ont peu essayer de rechercher d’autres éléments sur lesquels ont pourrait jouer pour atténuer ces signaux parasites

    mais ,il est difficile de ne pas impliquer les cellules ciliées dans les acs, même si certain chocs n’on pas provoqué de baisse d’audition et seulement des acs
    en imagerie médicale des chercheurs ont fait des clichés de cellules saines et de celles ayant subit un choc auditif violent ou de cellules soumises longtemps à des niveaux assez forts
    ont voit tout de suite la différence

  • micmic

    Membre
    30 novembre 2017 à 11 h 42 min

    deuxième épisode
    une fois acquis les acs ou l’hyper varient énormément c’est vrai ,et changent de nature au cours des nombreuses années où ont les supportent, et il arrive même parfois que les troubles deviennent infimes sans intervention quelconque ,mais une oreille lésées le reste à vie et au moindre faux pas les acs peuvent revenir a forte intensité

    exemples de faux pas : récidive de choc , avancement dans l’age , anesthésie , opération chirurgicale , intoxication médicamenteuse et je sais de quoi je parle

    mais l’origine c’est souvent les cellules / la plupart ,par trauma et souvent par empoisonnement médical , d’ailleurs les chercheurs provoquent des acouphènes sur les rats en les sur dosant d’aspirine (qui, comme on le sait tous, est le pire pour nos oreille après les trauma )

  • triba

    Membre
    30 novembre 2017 à 15 h 34 min

    Apparemment c’est la libération en excès de glutamate qui bouzille les récepteurs et peut également endommager le nerf auditif. D’où le postulat d’ORL comme ceux de Coopacou qui, dans leur tentatives, penchent sur une altération du nerf auditif qui peut étre dminiué par l’emploi d’antiépileptiques. voir les témoignages de gens comme Moonk, Khimari78 pour l’aotal (même si ce dernier n’est pas un AED).
    J’ai rencontré les Dr Fain et Londero, ils ont des vues presqu’à l’opposé du problème.
    Le chemin vers le soulagement risque d’être encore long.

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