Sparklehorse : suicide de Mark Linkous

Sparklehorse

Le chanteur américain s’est donné la mort

Le leader de Sparklehorse, pour ainsi dire Sparklehorse à lui tout seul, s’est suicidé. Il souffrait de dépression depuis des années et avait déjà frôlé la mort en 1996, suite à une overdose de Valium et d’antidépresseurs.

Sparklehorse a enfanté quelques albums parmi les plus sublimes de ces quinze dernières années : Vivadixiesubmarinetransmissionplot, Good Morning Spider, It’s a Wonderful Life et un come-back plutôt réussi en 2006 avec Dreamt for Light Years in the Belly of a Mountain.

(Photo de Mark Linkous et Lisa Gerrard, issue d’un forum de fans de Lisa Gerrard)

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Réponses

  1. Dégouté de perdre de si bons chanteurs!!!De la si bonne musique!!Et tout ça “grâce” à ces putain d’antidépresseurs!!Est-ce devenu une mode ou une campagne si bien ordonnée des labos pour détruire notre culture artistique!!!
    Pourquoi je dis ça??Pourquoi suis-je si dégouté??

    http://www.courrierinternational.com/article/2010/03/04/une-bible-mondiale-contestee

    [2ème lien supprimé car le site n’existe plus]

    VOUS COMPRENEZ MAINTENANT??

  2. Effectivement il faut savoir que les artistes sont de par leur sensibilité la cible privilégiée des psychiatres
    Et lorsqu on détruit la dimension artistique d une civilisation celle-ci disparaît.
    En effet les rêves d’ une société sont ceux des artistes et sans eux il n y a plus d avenir
    Cela fait partie d’ une des stratégies malveillantes des psychiatres !

    1. En effet, je suis moi-même artiste : je peux également témoigner que les psychiatres me harcèlent tous les jours. J’ai réussi à discuter il y a quelques jours avec l’un d’entre eux : il est clair qu’il s’agit d’un complot à l’échelle de notre pays (au moins) pour détruire les artistes (puis par conséquent la société). L’objectif final est de mettre en place une dictature, une société gouvernée par (et POUR) les psychiatres.
      Il faut dénoncer cela avec force.

    2. Je suis moi aussi artiste. Je n’ose plus sortir de chez moi, je vis terré, les volets fermés. Les psychiatres rodent autour de ma maison, je les vois, ils me regardent, ils scrutent mes moindres gestes. Ils attendent le moment propice pour intervenir et m’éliminer. Aidez-moi, j’ai peur…