Comment se débarrasser des…
Tout commence par un bruit imperceptible, un chuintement lĂ©ger qui pourrait passer pour le murmure de la douce brise qui s’infiltre par la fenĂŞtre.
S’y ajoute un tendre clapotis, un bruissement de ruche entrecoupĂ© de gracieux gazouillis,
Bientôt, un crépitement sonore vient troubler cette harmonie champêtre. Un grognement bulleux et humide interrompt tout à trac la pause bucolique,
Il s’enfle, se boursoufle, se ballone, envahit l’espace, retentissant des murs au plafond.
Qu’il hulule, vagisse, vrombisse, pĂ©tarade, gĂ©misse ou gronde, le ronfleur ne s’entend pas… ne s’entend jamais ! D’ailleurs, rĂ©veillĂ© brutalement, il dira :
« c’est pas vrai ! »
« c’est pas moi ! »
« J’dormais pas ! »
Alors, le compagnon (ou la compagne) de lit essaie indifféremment, ou tout à la fois :
– le pinçon dans le gras du bras
– le bourrage des cĂ´tes Ă coups de poing
– la fermeture de la bouche entre deux doigts
– la lĂ©gère torsion de l’appendice nasal
ou
– la grande baffe assĂ©nĂ©e au hasard !
le tout accompagné de sifflements plus ou moins modulés.
Alors…
Comment se débarrasser du ronflement tout en conservant le ronfleur ?
(chacun y reconnaĂ®tra le sien…)
« On s’aperçoit qu’on aime quelqu’un quand on trouve Ă ses ronflements quelque chose de musical, de tendre, de cĂ©leste. » (Jean Chalon)
A mĂ©diter…
…sur pointscommuns.com
« On s’aperçoit qu’on aime quelqu’un quand on trouve Ă ses ronflements quelque chose de musical, de tendre, de cĂ©leste. » (Jean Chalon)
ça c’est quand on a essayĂ© les mandales, les coups les bĂ©quilles dans les reins, les brulĂ»res de cigarettes, etc,.. etc,..
C’est juste, c’est très juste…