Vivre sans internet, c’est un peu mourir
[…] L’essor de cette paresse agitĂ©e, de cette solitude grĂ©gaire qu’est le vagabondage numĂ©rique, ne peut qu’inquiĂ©ter car il va de pair avec le lent effacement de ce qui constitue la dignitĂ© humaine, le fait de penser et de ressentir. L’ennui, c’est que l’exercice de la raison et le dĂ©veloppement de la sensibilitĂ© demandent du temps, du silence et de la solitude. Tout ce que dĂ©teste l’internaute en vacances !
Isabelle Marchandier, Causeur.fr, « Vacances sans wifi, vacances pourries !«Â
Vivement le jour où le territoire sera 100% couvert pas satellite en haut débit. Je pourrais partir en vancances^^.